Publié par aplusglass.com – Mise en ligne le 16/10/2020

La Toyota Mirai est la nouvelle papamobile du pape François, un véhicule à hydrogène que le Saint-Père a reçu au Vatican.

Au fil des années, les différents papes qui ont occupé le poste de Saint-Père ont voyagé à bord de la fameuse papamobile. Un véhicule spécialement conçu pour les mouvements de Sa Sainteté lors de visites officielles dans des villes du monde entier. Le dernier véhicule à recevoir ce traitement est la Toyota Mirai. Ce modèle livré au pape François utilise une pile à hydrogène comme principale source d’énergie.

Le pape François dans l’air du temps avec sa papamobile

La Toyota Mirai a été offerte par la Conférence épiscopale catholique du Japon. C’est un véhicule à hydrogène parfaitement adapté à ses besoins de mobilité. Le véhicule a été livré à Sa Sainteté le pape François au Vatican, où était présent le Révérend Père Domenico Makoto Wada, représentant la Conférence épiscopale catholique du Japon, et Son Excellence Seiji Okada, ambassadeur du Japon. Étaient aussi présents des représentants de Toyota. Une délégation de six personnes dirigée par Miguel Fonseca et Mauro Caruccio.

La voiture est l’un des deux véhicules spécialement fabriqués par Toyota et donnés à la Conférence épiscopale catholique japonaise pour les besoins de mobilité du pape François lors de sa visite au Japon en novembre de l’année dernière. D’une longueur de 5,1 mètres et d’une hauteur, plafond inclus, de 2,7 mètres, la Mirai du pape François permet au Saint-Père de se lever et de saluer tout en étant visible du public.

La Toyota Mirai, dont le nom japonais signifie « futur », est la première berline à hydrogène produite en série au monde. Elle est alimentée par une pile à hydrogène qui lui permet de parcourir jusqu’à 500 kilomètres avec pour seule émission de l’eau de son échappement. Sans aucune autre particule polluante comme le CO2, les Nox et les microparticules.

Le pape François a toujours montré un profond intérêt pour les défis environnementaux mondiaux, comme il l’a déjà partagé dans son encyclique « Laudato si » en 2015. C’est son appel à sauvegarder la terre et tout ce qui entoure l’être humain, en changeant le mode de vie pour préserver la « maison commune ».